Retour sur le CST du 2 octobre 2023 (c’était bien nul !)

(fin de la déclaration préalable de l’UNSA voir ici). 14h15 ⏲️

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Fin du CST 14h59 ⏲️

On n’a pas été déçus du voyage !

Refus des élus présents Patrick Ayache, Myriam Chiappa-Kiger, Claude Mercier, Michel Neugnot – avaient-ils lus les dossiers ? – de prendre en compte la moindre proposition de l’UNSA ou de l’intersyndicale UNSA/CGT/FO pour trouver une solution et éviter de mettre les agents en grande difficulté (dossier suppression de primes en cas d’arrêt maladie). 

59 minutes chronomètre en main le Comité social territorial était terminé. 

Résumé syndical des prises de parole des représentants de la Présidente : ils ont principalement véhiculé la demande que les syndicats soient dans un message d’accompagnement des mesures décidées par l’exécutif.

Sérieux ? Oui, oui !

Genre “Soyez donc content de ce qu’on vous donne et arrêtez de revendiquer !”

Lors de cette instance, les représentants de la Présidente ont essentiellement encouragé les syndicats à soutenir les décisions prises par l’exécutif et à modérer leurs revendications. A-t-on bien compris ?

Que les syndicats soient dans un message de conformité et d’obéissance à l’exécutif. Ah ? sinon ? 

Ils ont également rappelé aux participants de se montrer reconnaissants pour ce qui leur est offert, tout en les réprimandant pour toute forme d’impertinence. Oui oui…

Comme à l’accoutumée, un élu a hâtivement poussé pour un vote rapide sur chaque rapport, sans même prendre la décence de considérer – même faire semblant –  les contre-propositions formulées par l’UNSA et l’Intersyndicale UNSA/FO/CGT.

Et d’autres de prendre la parole pour dire qu’entre les petits fours dans les cérémonies officielles et les grandes réunions, les agents qu’ils croisent, en particulier les agents des lycées, sont pleinement satisfaits de leur situation. 

Du mépris et un gâchis immense.