đŸŽ€đŸŽ—ïž Aujourd’hui, c’est le lancement d’Octobre Rose ! đŸŽ—ïžđŸŽ€

À l’UNSA, nous savons combien il est essentiel de protĂ©ger la santĂ© des agents.

C’est pourquoi en ce mois d’Octobre Rose, dĂ©diĂ© Ă  la sensibilisation au cancer du sein, il est trĂšs important de parler d’un sujet qui nous concerne tous : la protection financiĂšre face Ă  la maladie. Le cancer du sein touche 1 femme sur 8. DerriĂšre ce chiffre, ce sont nos mĂšres, nos sƓurs, nos compagnes, nos collĂšgues, nos amies qui sont concernĂ©es. C’est notre entourage, c’est peut-ĂȘtre vous.

Lorsque la maladie frappe, le combat est déjà assez dur.

Et malheureusement, sans prĂ©voyance, c’est un double combat qui s’engage : lutter contre la maladie tout en essayant de survivre financiĂšrement. Car oui, la triste rĂ©alitĂ© est lĂ  : quand on tombe gravement malade (souvent longtemps malade), on perd une grande partie de son salaire. Comment se concentrer sur sa guĂ©rison quand on doit choisir entre payer ses soins ou ses factures ? Mission quasi impossible.

Et c’est pour ça qu’en octobre 2023, nous nous sommes battus contre la suppression des primes pour les “gravement malades” et nous avons obtenu de la PrĂ©sidente du Conseil rĂ©gional la mise en place d’une prĂ©voyance “maison” qui prendra effet le 1er janvier 2026. Une vraie victoire, mais c’est en 2026, et c’est encore loin.

Alors et maintenant ? Il existe une solution immĂ©diate : c’est de vĂ©rifier que vous avez une prĂ©voyance. Si ce n’est pas le cas, prenez-en une qui coĂ»te autour de 20 €, car notre employeur rembourse cette somme. Vous aurez ainsi une protection en attendant l’entrĂ©e en vigueur de la prĂ©voyance “maison”.

Personnellement, comme beaucoup d’entre vous, j’ai vu des proches traverser l’Ă©preuve de la maladie. On voit la vie qui change, la fatigue qui s’installe, les fins de journĂ©e plus difficiles. MĂȘme quand notre collĂšgue ne le montre pas, la maladie laisse des traces. Et je peux vous dire que la derniĂšre chose dont on a besoin dans ces moments-lĂ , c’est de s’inquiĂ©ter pour l’argent.

Et sinon, je pense que vous savez qu’il est essentiel de faire des dĂ©pistages rĂ©guliers. On n’a jamais le temps, c’est vrai, mais il faut le prendre pour sa santĂ©. Pour les femmes de plus de 50 ans, une mammographie est recommandĂ©e tous les 2 ans. Et n’oubliez pas que la mĂ©decine du travail est lĂ  pour vous conseiller et vous accompagner dans ces dĂ©marches.

    Bref, vous avez compris : prĂ©vention, diagnostic, et surtout, restons solidaires. Ne laissons personne seul, et donnons-nous un coup de main entre collĂšgues. đŸ’Ș Et n’oubliez pas de porter un petit ruban rose (si vous n’en avez pas, l’UNSA en a distribuĂ© des milliers !).

    (Pour toute question sur la prévoyance ou le dépistage, vos représentants UNSA sont là pour vous guider).

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